Paris c’est fini, pour l’instant. Les adieux à la famille ont été une déchirure. Ça m’a brisé le cœur .
Tous ces gens qui rendaient mon quotidien agréable, qui prenaient soin de moi, qui me remontaient le moral après une journée pourrie dans Le RER, je ne les verrais plus avant plusieurs mois ou plusieurs années!
Paris et la France en général vont me manquer, les fous rires avec les proches, les bords de seine, les bateaux mouches, cette sensation d’assister à quelque chose d’unique à chaque fois que la tour Eiffel s’illumine, les musées, les châteaux, la gastronomie, la mode, cette bonne odeur de pain frais quand je passais devant une boulangerie aux aurores, le foie gras, Le monbazillac, le champagne, les pâtisseries mais aussi et surtout ma famille et mes amis.
Je savais que le manque et l’éloignement étaient (aussi) le prix à payer pour vivre mon rêve canadien mais je ne réalisais pas à quel point se serait pénible et douloureux…
Catégories :Une vie de Gaou
En te lisant, je revois mes « aurevoir » a la famille et amis